La Couche du diable, les braises de l’enfer par Serge Lutens
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 9 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Sans rentrer dans des sujets qu pourraient faire débat pendant des heures, on peut regretter, voire même être choqué des prix pratiqués par Serge Lutens... et Frédéric Malle (et tant d’autres), surtout quand on a eu la chance, comme moi, d’être cliente des deux maisons dès l’ouverture de leur boutiques. Je ne parlerai pas de la Section d’Or de Lutens, très chère pour ce qu’elle est, et qui de toute façon va être incessamment être mise en sommeil. Par contre, voir passer mon Tubéreuse Criminelle dans la collection Gratte-ciel et faire du 100% d’augmentation, désolée mais je ne valide pas. D’autant que pendant longtemps, SL a été le meilleur rapport qualité/prix de la parfumerie de niche.
Même souci avec Carnal Flower, des EPFM, qui a atteint un prix hallucinant.
Je fais très attention avec les extraits. Contrairement à beaucoup, je n’ai pas trop aimé celui de Coromandel. Mais j’avais craqué il y a une dizaine d’années sur celui d’Habit Rouge, et je ne l’ai jamais regretté, malgré le prix (250€ je crois, et j’en ai encore).
Je suis une dingue de parfums, mais je refuse aussi de dépasser une certaine limite, surtout quand je peux trouver une très jolie tubéreuse signée Zara / Jo Malone CBE à 25,95€ les 90ml, ou même les très belles éditions 1+1 proposées par la Revue Nez (29€ le 15 ml).
Mettre le prix pour financer le packaging et le marketing, non merci !