Eau, vin et maquis : l’héritage corse de Parfum d’empire
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 9 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Je suis partagé quant à la hausse des prix de Parfum d’empire.
J’ai découvert la marque et acheté Cuir Ottoman 96 € le flacon de 100ml il y a 15 ans puis Aziyadé dans la foulée 65 € les 50ml. Le rapport qualité/ prix était imbattable et je ne parle pas uniquement de la concentration exceptionnelle mais de la qualité des compositions. Au-delà du prix strict les parfums étaient beaux, généreux, puissants et prétendaient évoquer des cultures, des civilisations, l’Histoire.
Ambre Russe, Fougère Bengale, Wazamba...
J’étais comblé mais je m’étonnais tout de même de la légèreté des tarifs pratiqués. Un vendeur m’avait dit pour connaître MAC que la marge était assez ridicule vu les prestations (le choix des
matières premières, la concentration des eaux de parfum frisant celles d’extraits parfois) .
Je ne me suis donc pas offusqué de l’augmentation des 100ml par contre j’ai beaucoup regretté l’abandon du format 50ml sauf exception.
C’est pourquoi ce retour au 50ml mais au quasi prix de l’ancien 100ml me laisse un peu mitigé tant le changement est radical commercialement parlant.
Je ne sais pas si je rachèterai du Parfum d’Empire mais le prix étant un gage de qualité pour une partie de la clientèle peut être que la marque s’y retrouvera largement auprès de plus riches que moi.
Et quelque part si Parfum d’empire reste fidèle à lui-même qualitativement parlant je crois que je ne lui en voudrai finalement pas.
Tant pis pour moi et tant mieux pour eux.