Les parfums D.I.Y.
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Je ne pratique pas encore le DIY, mais je suis à 1000% pour l’accès aux ingrédients naturels rares de qualité. J’ai hâte de découvrir Aroma Zone, que je rate systématiquement quand je vais à Paris (je fais le printemps puis les galeries, alors que la boutique est plus à l’est).
Je suis d’accord que c’est un métier. Acheter une belle matière première naturelle c’est comme avoir un bloc de marbre de Carrare, c’est déjà génial et magnifique de possibilité, mais ça reste ingrat et brut. Il faut un sculpteur.
L’intérêt des matières premières est de développer la culture populaire des gens en parfumerie. Si les acheteurs "votent" mieux avec leur porte-monnaie, les marques tireront la qualité par le haut (orchestration, ingrédiens, temps pour le nez). Après tout, la logique initiale des parfums de niches pour l’acheteur (avant les hausses), c’était que le budget économisé sur la pub soit redirigé sur plus de belle matières premières. Si les gens n’ont pas cette culture parfum, on laisse une fenêtre d’impunité aux gens qui veulent profiter de cette ignorance, et on connait tous des noms de marques qui sont allées loin dans ce cynisme-là.