Bestialement vôtre
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 13 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Je veux bien reformuler, d’accord... Disons qu’en prenant en compte les prix pratiqués par la marque, je suis plus attentif (et je sais que je ne suis pas le seul) à ce qu’on essaie de me vendre pour une lanterne. Mais je n’ai pas d’a priori négatif en ce qui concerne la qualité des jus, je trouve aussi que l’offre est plutôt chouette. Peut-être qu’il n’y a pas plus de fragrances ratées chez Tom Ford que chez Mugler ou L’Artisan Parfumeur (pour ratisser large), mais quand ces ratés sont facturés au prix du caviar, le doute systématique est vite de la partie, ça me paraît raisonnable. D’autant plus que quand même, il y a des sorties beaucoup moins remarquables : Soleil blanc et ses déclinaisons, Costa Azzura et al. ; même dans une moindre mesure Santal Blush et le récent Fougère d’argent auxquels je n’ai pas trouvé beaucoup de personnalité. Evidemment ça n’enlève rien aux belles propositions que sont pour moi London ou la série des Ouds (qui pourtant ont un marketing qui a de quoi déplaire, du nom au prix)...