Diva
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Elle est arrivé hier avec des produits de soin à la base du miel. Ca m’a semblé approprié. Le flacon est imposent, lourd et le bouchon est en verre. Clairement d’une autre époque.
J’aime beaucoup l’ouverture, transparente, radieuse, limite petillante. Mandarine et aldehydes. La rose avec du miel qui s’animalise progressivement. Civette, au plus precisement son equivalent synthetique. Je sente cette pression caractéristique dans mes bronches qui vient avec. Une multitudes de muscs, touche de ambrox, en peu de mousse et c’est tout. Une impression de fleurs crémeux qui font la chorale pour la rose. Cardamome et coriandre que j’adore, mais peine à trouver rendement l’ensemble vraiment intéressant. Tout c’est éteint après 4 à 5 h.
Mon organisme, mon système respiratoire est conscient de la présence de Diva, mais mon nez détecte que environ 20 % de l’ensemble. C’est rare, mais je suis partiellement anosmique à 2 autres parfums aussi. Je me suis rappelé de ne pas avoir senti grand chose même quand j’étais petite. Une presence, une aura, certainement, mais pas autant que je devais. Et elle est sensé être grandiose. Plus que 2 pshites et je m’étouffe. Ca sera un parfum pour des autres, alors. Je vais le garder, parce que j’aime ce que je sent, meme si c’est frustrant. Pour des raisons evidentes, je ne sente pas vraiment la parenté avec Coco.
J’ai eu quelques souvenirs extrêmement détaillés de moi en pyjama blanc avec des poissons rouges regardent mes parents sur le point de sortir. Mes soeurs maquillées comme des voitures volées, beaucoup de cheveux crépus, épaulettes et couleurs improbables et tout le monde sentait maquillage, parfum et la laque pour des cheveux.
Je vais probablement me consoler avec Aromatics Elixir demain.