Puisse l’imaginaire devenir odeur
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Adina76,
J’ai eu l’occasion de commander et d’essayer des échantillons de chez Anatole Lebreton.
Cornaline pour commencer m’a plu mais ne m’a pas enchanté, je trouve qu’il a petit côté poudré agréable, mais il lui manque un petit quelque chose, une originalité qu’il n’a pas su saisir.
J’avais aussi été tenté par L’eau de Merzhin pour la promesse d’"ode végétale sur lit de foin sec", et finalement, l’attaque — due sans doute au côté foin — est presque gênante, comme un effet de tabac froid, avec cette âcreté que j’associe volontiers aux sous-bois humides mais tenaces. Toutefois, il a le mérite d’être très original. Peut-être que Bois Lumière m’aurait correspondu davantage... Ce sera pour un prochain essai !
J’ai aussi commandé Incarnata et je lui trouve un manque d’audace. Même s’il a un côté provocant, il a une rondeur trop enveloppante pour ce que j’attendais, des talons aiguilles pas assez hauts pour moi sûrement !!!
En tous cas, merci pour ces découvertes !