Alien Man
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 3 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 4 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
"Dihydromyrcénol", ce coup-ci je l’apprend par cœur, pour mieux le fuir. Au sortir du spray, Alien Man sent exactement ça, on se croirait dans un vestiaire de garçon un soir après match, pendant un festival de pschitt de Axe, Mennen et consorts quand d’autres se rasent dans les douches à grand renfort de mousse odorante (une des mille raisons pour abandonner ces horribles bombes de mousse). Personnellement je vis ça comme un cauchemar bleu, et je salue la description faite dans la critique, c’est tout à fait ça, une lavande électronique, une fleur de néon qui est tout ce que je fuis dans un parfum.
Second degré ou opportunisme, chacun verra son Mugler comme il veut, mais il m’est difficile de distribuer des félicitations pour non-usage de "bois qui piquent" si c’est pour finir avec ça. Heureusement la suite du show est de meilleur goût, une touche menthol-anis s’appuie sur une sorte de cuir assez rond, une espèce d’ambre timide avec une pointe d’amande (sur la peau plus que sur touche, cette dernière restant très "bleue") qui n’est pas désagréable.
Au fond c’est une fragrance régressive à sa manière, comme Mugler sait en faire, c’est sans doute un parfum qui séduira tous ceux qui ont de bons souvenirs des vestiaires après l’EPS.