Marcel
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Marcel :
Par ce retour de chaleur, je le porte depuis ce matin avec beaucoup de plaisir.
La première vaporisation renvoie effectivement avec beaucoup de nostalgie à un passé qui commence à s’éloigner, cette douce époque des années 50, magnifiée par le temps . C’est tout un monde de simplicité qui me vient à l’esprit : congés payés, pique-nique, nappes à carreaux, bref la vie simple des classes plutôt moyennes et populaires qui a été le cadre de mon enfance (enfin plus de quinze ans plus tard) … et pourtant ! Dans son classicisme, le jus est remarquable de tenue et de couleurs estivales : lavande, romarin, citron qui doucement se fondent dans les notes boisées avec beaucoup de douceur et fraîcheur. En fait, à l’aveugle, je l’aurais pris pour un nouvel opus – fort réussi - d’Aqua Di Parma. Et si c’est l’image d’un petit papy en chemises à carreaux, bretelles et casquette que le nom m’évoque, la fragrance pourrait tout aussi bien être celle fièrement arborée sur la riviera par moults élégants et élégantes. Pour moi, Marcel c’est le parfum lumineux de la Dolce Vita, et aujourd’hui encore d’une certaine douceur de vivre, toutes classes sociales confondues !