Joy
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 2 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 5 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Merci, Yohan, de nous inviter à nous replonger dans (ou à découvrir) ce magnifique floral qui n’a pas pris une ride. Ce côté " globalement peu évolutif et monolithique, très soudé " le rend aujourd’hui étonnamment moderne. Porter Joy m’emporte toujours plus loin que je ne l’avais imaginé, et assez curieusement vers un fond moins chic, et même un peu sale, qui me trouble et m’envoûte. Mon flacon date d’il y a trois ou quatre ans maximum. Je ne manquerai pas d’aller tester la version actuelle. Souhaitons bon vent à la Maison Patou !
Merci aussi, cher Newyorker, pour ta contribution régulière à Nez, et spécialement pour l’évocation des parfums des Années Folles dans le n° 3 - que je viens seulement de me procurer. À bientôt !