Au cœur de L’Heure perdue : de la vanilline à l’isobutyl quinoléine
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Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 2 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 2 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bonjour Galate,
Ah, ravi de vous avoir ouvert une porte olfactive, surtout pour le santal naturel qui est une matière qui m’est chère et dont les répliques synthétiques sont peu à mon gout quand elles sont poussées, la finesse et la délicatesse du véritable santal est trop souvent transformé en caricature.
Si vous prisez le santal naturel, les parfums les plus dosés sont l’extrait de Bois des Iles, Chanel, et moins connu Sables d’Annick Goutal, qui en contient presque 25% !! Autant que le Tam Dao en version originale edt, mais ce n’est probablement plus le cas de nos jours, c’est devenu un cèdre/santal.
Pour la mousse de chêne, il y a de quoi faire car un cette matière a bien été étudiée par les chimistes. Mais l’Evernyl qui y est présent, ne suffit pas, et de loin, à rendre la complexité phénoménale de ce joyaux naturel de nos jours castré par l’IFRA, à raison, c’était de loin le responsable majoritaire des réactions de sensibilisation de la peau par les parfums :-(