L’Eau de Virginie
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 5 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 5 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’ai commencé par être déçu de cette fleur d’oranger que j’ai trouvé trop grasse, trop "éclose"... Je pense que j’y cherchais le côté plus vert d’autres parfums à la fleur d’oranger qui jouent sur des notes plus vertes, plus fraîches, même celle de Lutens. Ce conformisme ne mène évidemment nulle part lorsqu’on aborde ce parfum, que je porte maintenant avec bonheur. Les fleurs épanouies de l’ouverture se mêlent en effet à des notes médicinales subtiles, et comme d’autres l’ont dit, un peu fumées, qui donnent au parfum tout son relief. Son évolution au fil du temps est très belle, non linéaire, les fleurs initiales annonçant bientôt l’arrivées de notes sèches et un peu poudrées. Quelques heures plus tard, une gousse de vanille, sans sucre et épicée, vient se frotter à la peau.
Si je ne devais garder qu’une fleur d’oranger, ce serait peut-être finalement celle-ci.