Habanita
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 5 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bonsoir Beerluc, ce n’était pas un exposé car je suis loin d’être chimiste ;`) et une journée ne suffit effectivement pas pour faire rancir l’huile, mais une huile s’oxydera toujours, c’est pourquoi on ajoute entre autres des conservateurs comme de la vitamine E pour en améliorer la conservation . L’huile a généralement une odeur à part entière dont il faut tenir compte (amande ou autre) , inconvénient que n’a pas l’alcool, et toutes les matières parfumées, notamment aqueuses, ne sont pas solubles dans l’huile, on a donc moins le choix des matières premières. Concernant les tâches vous êtes chanceux, mais j’ai eu une très mauvaise expérience avec un top en soie, et une expérience catastrophique avec l’huile de coco qui même à 90°C en machine puis à la main n’est jamais partie.Une bonne bouteille de vin pourtant titrée à 12°C sera toujours consommable après 100 ans alors qu’une huile centenaire vous enverra direct à l’hôpital. Et l’huile fige au froid, contrairement à l’alcool. Le procédé alcoolique est donc, de mon point de vue, le plus durable, le plus polyvalent et le plus stable. Ce qui n’empêche pas de protéger le flacon de la chaleur et de la lumière mais plus pour la conservation des matières 1ères que celle de l’alcool. Le seul vrai défaut de la solution alcoolique c’est l’évaporation : flacon évaporé =flacon foutu :p