Bois d’Arménie
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Nécessairement moi je ne sais pas.. mais enfin quand on met son nez dans une vraie pisse de chat en général on en sort pas ému. C’est pourtant ce qu’on attend d’un parfum. Si on prend le parfum pour de l’art-ce qui à mon avis est à la fois rarement le cas mais tout à fait vérifié dans certains cas-, l’émotion ne vient, c’est vrai pas que de la composition de belles parties (ici "parties" olfactives, notes, matériaux..), Mais enfin, une oeuvre qui rappelle un excrément, même dans les mouvements trash, Dada, contemporain ou autre, ce n’est pas particulièrement recherché.. A moins de considérer Jicky comme un tableau de Jérôme Bosh, à la rigueur.. Mais enfin je reste sceptique..
Autant le côté "animal" est un adjectif qui me paraît approprié, intéressant, autant la dénomination pisse de chat, ça donne vraiment envie de fuir !!
Bois d’Arménie, c’est un très beau parfum en tout cas !!