Eau de citron noir
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Guillaume Frémondière, ingénieur agronome et Juliette Karagueuzoglou, parfumeuse chez IFF, lèvent le voile sur cette fleur emblématique.
il y a 2 jours
Bien incapable d’en donner une description détaillée, je trouve simplement que c’est un bel(…)
il y a 3 jours
Bonjour, Apparition sur le site Caron des extraits de Bellodgia, Farnesiana , Or Et Noir et(…)
il y a 6 jours
Chère Adina, en même temps ne vous faîtes pas d’illusions, la note noisette de Vetiver Santal est(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
L’échantillon faisait partie du toujours généreux lot qui accompagne chaque commande faite à ma parfumerie préférée. C’était il y a quelques mois.
N’ayant que l’embarras du choix, et comme je devais sortir, mon dévolu s’est porté sur cette Eau de citron noir parce que, comme je me le disais à l’époque, aucun risque d’être déçu par Hermès.
J’ai constaté que, dorénavant, le risque était devenu réel.
L’agression ressentie à l’odeur de cette cologne, même après m’être frotté la peau presque jusqu’au sang (ce qui n’a pour effet que de faire chauffer le parfum, soit dit en passant) m’a ôté pour toujours l’envie de faire mon premier test directement sur peau, quelque soit le parfum.
J’ai d’ailleurs cru, l’espace d’un moment que ce que j’avais appris à identifier comme étant les bois ambrés étaient en fait d’autres molécules. Il me paraissait impossible qu’une maison comme Hermès se laisse aller à tant de facilité.
Mais votre article confirme que, pour moi, ces bois-là ne servent qu’à défigurer un parfum.
Et à le défigurer à très long terme, parce que, évidement, ça a tenu pendant des heures interminables.
J’ai décidément beaucoup de mal avec les créations de Christine Nagel.