Le rêve d’Orient, par Hermès
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
hier
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
hier
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bien d’accord avec vous Beerluc, une composition parfaite allie des qualités olfactives et des qualités techniques.
Un rasoir doit raser, une roue doit rouler, un parfum doit parfumer. C’est un basique.
Un grand nez maîtrise les deux aspects de la conception d’un parfum et c’est à cette condition qu’il devient un artiste.
Quant au prix de toutes ses exclusivités, peut-être que les vrais amateurs de parfums devraient se cultiver un peu plus en matière économique, lire un peu plus Les échos, L’usine Nouvelle etc... pour s’apercevoir que le positionnement prix d’un parfum ne reflète en rien un quelconque degré de qualité du parfum. C’est par exemple une stratégie marketing clairement délibérée chez Lutens, et non le fruit d’un coût des matières.
Il y a fort à parier que certains jus, s’ils étaient testés à l’aveugle ou estampillés "Monoprix" ne mériteraient au mieux pas la moindre ligne et au pire, des critiques acerbes.
Soyons "aware" (emprunt à Jean-Claude V.).
:p