Les parfums de la honte
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
il y a 2 jours
Bonjour à vous, Je reviens sur cet article, 13 ans après mon message où je faisais part de ma(…)
il y a 2 jours
J’ai une place tout au chaud dans mon cœur pour Œillet Bengale. C’est le parfum qui m’a fait(…)
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Excusez-moi, mais en vous lisant presque quatre ans aprés, je bondis de mon tabouret ergonomique : si vos trésors ne connaissent pas vos goùts en matière de parfums (par contre, pour les bijoux, ils ont percuté), c’est que vous ne les avez pas éduqués. Mon fils a eu droit vers 7-8 ans à Petit Guerlain pour parfaire ses jolies tenues, puis à la pré-adolescence à la Cologne Santa Maria Novella al Melograno jusqu’à ce qu’il me demande vers 17-18 ans le gel frais à la Verveine de l’Occitane avec le savon de douche. De toutes façons, je crois que dans le choix de vos enfants, il ya la patte d’un de vos proches !
Si je dois vraiment parler d’un parfum de la honte, je choisirais le gros flacon de Ensoleillez-moi du bijoutier Gas de St-Tropez (ha, ces cagoles du sud !) qui est à Terracotta ce qu’est la grosse touriste allemande écarlate et à moitié nue, à la VIP parisienne à la terrasse de Sénéquier. Mais si je le retrouve, je le rachète !
Merci de votre éventuelle attention et bonne soirée.