Attaquer le soleil Marquis de Sade, le parfum qui fait mal, par Etat Libre d’Orange
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
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Bonsoir Farnesiano. Tout d’abord, je trouve les parfums assez beaux, Hyde et Moon Bloom que(…)
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Bonsoir Don SALLUSTE, Comment trouvez-vous les nouveaux flacons Hiram Green ? J’ai pensé à(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Pour moi d’abord l’acronyme du groupe Electric Light Orchestra, les lettres ELO ne désignent qu’une marque de niche secondaire dont le concept initial, espiègle ou irrévérencieux, mais soulignons-le, plus sympathique que prétentieux, nous lasse autant qu’il nous a diverti. J’ai fini par l’oublier, cette marque dont les parfums ne m’ont jamais vraiment ému et dont les flacons ne m’emballent pas outre mesure.
AdRem cite mes jus préférés, vraiment novateurs, auxquels j’ajouterai le sublime Rien, énorme et fabuleux fourre-tout cuiré, poudré, bourré d’encens, de patchouli, de rose, d’iris, de mousse de chêne, etc. qui vous propulse dans un bonheur aussi puissant et tonique que sombre et glamour. Parfum fatal et formidablement addictif (j’évoque ici la version Intense Incense). J’irai tout de même porter mes marines vers les dernières parutions de la marque qui semble s’essouffler, s’embourgeoiser ?, à l’image du quartier du Marais où elle s’était implantée. L’humour camp aurait-il ses limites ?