Attaquer le soleil Marquis de Sade, le parfum qui fait mal, par Etat Libre d’Orange
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Après une première édition réunissant passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
il y a 2 jours
Une très belle découverte qui me fait penser à ces parfums d’antan, quand la parfumerie était(…)
il y a 1 semaine
Bonjour adler, bonjour à tous, Je porte pour la première fois cette somptueuse Eau des(…)
il y a 1 semaine
Ah, un coup de coeur, ce parfum, même si je n’ai toujours pas franchi le pas de l’achat : je l’ai(…)
Le nez dans la terre
Décoction enchanteresse
Nombre d’or de l’iris
Pour moi d’abord l’acronyme du groupe Electric Light Orchestra, les lettres ELO ne désignent qu’une marque de niche secondaire dont le concept initial, espiègle ou irrévérencieux, mais soulignons-le, plus sympathique que prétentieux, nous lasse autant qu’il nous a diverti. J’ai fini par l’oublier, cette marque dont les parfums ne m’ont jamais vraiment ému et dont les flacons ne m’emballent pas outre mesure.
AdRem cite mes jus préférés, vraiment novateurs, auxquels j’ajouterai le sublime Rien, énorme et fabuleux fourre-tout cuiré, poudré, bourré d’encens, de patchouli, de rose, d’iris, de mousse de chêne, etc. qui vous propulse dans un bonheur aussi puissant et tonique que sombre et glamour. Parfum fatal et formidablement addictif (j’évoque ici la version Intense Incense). J’irai tout de même porter mes marines vers les dernières parutions de la marque qui semble s’essouffler, s’embourgeoiser ?, à l’image du quartier du Marais où elle s’était implantée. L’humour camp aurait-il ses limites ?