Les Roses
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
hier
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 4 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
"Les Roses" contrairement à ce que son nom peut laisser à penser n’est pas l’ évocation d’un bouquet de roses, je veux dire de ce que les roses ont de multiple : variations entre l’opulence sombre et musquée des rouges, la douce fraîcheur des roses anciennes, la tendresse des roses thé, etc.
Non, "Les Roses" m’a-t-il semblé est plutôt une quintessence de LA Rose ! Une rose rêvée, imaginée. Un clone de rose qui rassemble en son coeur toutes les roses, enfin toutes les idées de roses.
Un vertigineux travail comme un mirage d’ assemblage facetté qui donne un tel rendu d’unicité qu’au départ ce parfum peut sembler simple, trop simple.
J’ai été captivée par le charme particulier de ce parfum, envoûtée par sa subtile diffraction insaisissable. A l’image de l’agencement en rosace des pétales de la rose, c’est un véritable tourbillon d’odeurs étourdissant qui se déploie au fil du temps où on le porte, de la première fois où on le hume jusqu’au soir où il continue à nous accompagner...
Un grand merci à vous pour cette très belle découverte.