Habanita, La Cologne
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 2 jours
Bien belle critique d’Olivier R. P. David et vibrant hommage rendu au " Prete Rosso". À sa(…)
il y a 4 jours
Pardon, il s’agit d’un flacon de 50 ml et non de 75 ml.
il y a 4 jours
Je l’ai acheté sur un coup de tête (ou plutôt de nez !) et en 75 ml. Je ne sais pas ce qui m’a(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
C’est à moi que vous adressez votre question, Adina ?
Je ne prétends pas tout savoir, mais je lis, je sens et je constate.
Les chyprés sont moribonds avec la diabolisation de la mousse de chêne, qui leur donnait de la profondeur. Certes, il y a bien les néo-chypres, qui lorgnent sur le patchouli, mais c’est pas pareil.
Quant aux accords ambrés, sauf erreur de ma part (allo, l’équipe de rédacteurs d’Auparfum !!!), ils reposent sur des matières premières essentiellement végétales. Je crois que, comme pour le reste, l’IFRA a frappé, cependant les parfums ont encore des restes présentables. Et quand je pense que l’Erbolario vend pour moins de 30€ un 100 ml EDP de son Ambraliquida, qui tient et diffuse... Oui, je radote, mais on nous prend quand même souvent pour des cochons payeurs en parfumerie...
Marre du toujours moins (dans la bouteille) pour toujours plus (sur le ticket de caisse) !