Baiser Volé
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’ai longtemps hésité à m’inscrire, à commenter. Je suis de ces lecteurs de longtemps, qui posts après posts, apprennent, rient, s’attristent parfois mais restent toujours reconnaissants à la lecture de tout ce joli savoir, des tout ce partage.
Je ne disais rien donc, persuadée de ne rien avoir à apporter, mais aujourd’hui, en rentrant les poches chargées de mouillettes de papiers imprégnées de parfums, j’ai eu envie de rentrer dans ce joli cercle, pour discuter, pour apprendre au plus près, mais surtout, pour vous dire Merci :) A Jeanne bien sur, mais aussi à toutes les personnes qui font vivre cet endroit de partage, auprès desquelles je crois avoir déjà appris tellement de choses.
Ceci dit, on est ici sur la critique de Baiser Volé, alors je me lance : (attention, ne l’ayant senti que sur mouillette) ne lui trouvez vous pas, une fois la tête passée, une ressemble frappante avec "Promesse de Cacharel" ? Cette mure là, lavée et éteinte, dont resterait un gros sucre brulé et une franche acidité ?
Je ne sais pas, je ne sens plus que ça désormais.
Voilà, j’attends - curieuse - vous retours, et merci encore :)
Cam