Nuit et confidences
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Après une (trop) longue absence, le livre de référence sur l'industrie du parfum est de nouveau disponible !
hier
Bonjour, J’ai une moitié de flacon de 50 que je propose à l’échange contre parfum équivalent (en(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Je viens d’acquérir les deux derniers flacons disponibles sur le site américain,(…)
il y a 2 jours
Bonsoir laprincesseaupetitpoids, Ne revendant jamais de flacons sur internet, vous me voyez(…)
Intime conviction
Chaud-froid épicé
Rayons de miel
Bonjour Bluebell. Eh oui, notre marque chérie va à vau-l’eau, depuis des années et suit une bien bien mauvaise pente... Des disparitions, toutes les marques ont cette pratique, on le déplore, mais c’est partout, et depuis toujours, la loi de l’industrie. A mes yeux, le plus révoltant, c’est le remplacement de chefs-d’œuvre ( le superbe Vétiver de 1985 avec sa note qui hésitait entre un aspect ozonique et un côté cuir/selle de cheval/crottin, L’Eau du Fier, vrai précurseur, le Néroli original) ou de petits bijoux (Le Mimosa par ex.) par des créations sans grand intérêt (Ambre Sauvage, Vanille Charnelle) voire carrément insipides (Rose pompon). La suppression annoncée de Mandragore me chagrine. Ce matin encore, suite à la lecture de votre post, j’ai sorti mes miniatures Mandragore et Mandragore Pourpre. Les deux parfums sont beaux, vraiment. La version Pourpre a sur moi curieusement moins de tenue mais elle me séduit par son géranium en majesté qui détrône ainsi l’anis ! Amateurs de géranium, foncez donc sur les Pourpres restant ;-) La version Mandragore est une merveille d’invention, qui ne ressemble à rien d’autre...
Quant à l’identité visuelle, je redoute le pire. Quand je considère la tristesse que dégage pour moi le nouveau packaging de L’Artisan Parfumeur aux caractères minuscules et aux flacons noirs ou tellement sombres dont l’image correspond si peu à des titres tels que la Chasse aux Papillons, L’Eté en douce, Séville à l’Aube... y a de quoi se morfondre, n’est-ce pas ? Et de s’inquiéter !