Samsara
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 13 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
DOMfromBE, je pense qu’effectivement, ça en arrange bien certains de "devoir" alléger leurs formules... Et dans Samsara, que j’ai re-senti récemment à l’aéroport (il faut bien s’occuper, alors on révise les classiques), je cherche encore le santal...
Et Je suis en train de me rendre compte, à la lecture de vos lignes, que le boycott dont vous parlez, c’est exactement ce que je fais depuis un petit moment, même si c’est de manière inconsciente et sans l’avoir délibérément choisi...
En effet, je m’aperçois que je suis en train de me tourner, de plus en plus, vers des parfums anciens, et que je porte en majorité des vintage, dont le sillage et la tenue sont autrement satisfaisants que ceux des parfums actuels reformulés...
Je me fournis sur les sites d’enchères et de fins de séries, sur les brocantes, les vides-greniers, où je trouve des flacons mais aussi des échantillons qui, cumulés, permettent de se parfumer avec des jus de qualité, notamment tous les superbes masculins des années 80 (French line de Revillon, Macassar de Rochas, Azzaro Acteur, Moustache de Rochas, Bel-Ami vintage, le 3ème homme de Caron, Edition de Dunhill, Must pour homme de Cartier...)
Dernière victime d’une reformulation (récente, visiblement, car mes échantillons d’il y a 3 ans sont encore "bons") : Bois d’Arménie de Guerlain, qui est complètement délavé par rapport à sa formulation originelle (on a comparé les deux, ce week-end) -
Alors, effectivement, il n’est pas laid, pour qui ne connaît pas la version de Ménardo à sa sortie, mais il a perdu en puissance, en texture, en présence, bref, il n’est plus que l’ombre de ce qu’il était encore il y a peu, moins benjoin, moins épicé... :-(((((