Un poudré vintage à moins de 120 euros
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 2 jours
Vous semblez oublier les notes poivrées ou les notes de baies qui apportent tout leur charme à(…)
il y a 5 jours
Où donc ai-je lu à propos de 1000 que Luca Turin recommandait à la gent masculine le port de(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
@ nini6377 || Ouais ! Belle évocation du poudré qui procure un petit moment de plaisir de lecture, sympathique, en plus ! Pour ma part, de tous les parfums que j’ai pu sentir jusqu’à présent, Habit Rouge reste celui qui répond le mieux à ma perception du poudré ; heureusement qu’il est pour homme. Je n’aurais cependant aucun scrupule à porter un parfum pour femme s’il m’enveloppait de cette poussière tant désirée. Lorsque je portais Habit Rouge, mes amis, avant de savoir ce que c’était, disaient « Ça sent la poudre ! », à tel point qu’ils ont fini par m’y associer. Il est vrai qu’on interprète le poudré chacun un petit peu à sa façon et parfois, au premier jet sur mouillette ou sur mon poignet, je me demande ce que cela a de poudré lequel m’a été présenté comme tel, mais j’ai appris aussi qu’il fallait attendre car dans quelques cas, la senteur évolue dans la bonne direction, mais pas souvent.
Je suis presque persuadé qu’en-dehors de l’œuvre maîtresse de Guerlain et de quelques autres - Caron ( Pour un homme ), par exemple, qui serait une poudre de dragées vanillées et que j’arrive à recréer presque à l’identique avec des ingrédients de chez moi -, le poudré véritable ne se trouverait que dans les poudres, ce qui reviendrait à formuler un pléonasme. Que ce soit le talc auquel je voue un culte, ou les poudres pigmentées pour maquillage, surtout les vieilles, que je ne me lasse pas de humer dès que l’occasion se présente, c’est peut-être cette farine magique qui arrondit les molécules parfumées, l’inconsistance veloutée d’un talc ou la pâte d’un bâtonnet de rouge à lèvres qui confèrent à la fragrance rajoutée son effet de tiroir à sortilèges.