Nuit de Bakélite, tubéreuse nocturne par Naomi Goodsir
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Simba,
Si je peux me permettre un conseil, ne vous fiez jamais aux descriptions de parfum. Les listes d’ingrédients ou descriptions olfactives données par le marketing ou l’artiste à la base d’une création ne sont que très très rarement en accord avec les matières réellement utilisées par la parfumeurs ou le parfumeur, et encore moins fidèles à ce que vous pourrez sentir vous-même. En cette affaire, votre nez, vos émotions sont les seules guides utiles et intéressants.
Et puis même si vous ne le porterez jamais, essayer Tubéreuse Criminelle une fois dans sa vie au moins sur le poignet est une expérience inoubliable ! Un grand toboggan d’odeurs ! Je parle en connaissance de cause car je trouve ce parfum super intéressant sans avoir aucune envie de l’acheter pour le mettre.
Un peu pareil pour Carnal Flower, ce parfum est si loin de tout ce qu’on peut en dire, en lire, qu’il faut se faire une idée par soi-même et se laisser porter par l’histoire que Dominique Ropion raconte sur la fleur de tubéreuse. Idem, même si vous le l’achetez jamais, c’est une telle redécouverte des facettes de la tubéreuse naturelle que c’est comme d’aller au musée regarder un tableau qui ne sera jamais dans votre salon.
Merci, pour ces très gentils mots, je suis comblé si le texte vous a donné le déclic pour tester par vous-même cette Nuit là !
Profitez de vous vacances, et une fois rentré(e) dites nous ce qu’il en est pour vous, si vous avez adoré, est resté(e) de marbre, sidéré(e), écœuré(e)... :-)