Nuit de Bakélite, tubéreuse nocturne par Naomi Goodsir
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour, Passacaille, et bravo pour votre description, en ut majeur !, de la création attendue depuis de si nombreuses années. Votre article semble pour beaucoup faire déjà office de critique définitive sur Auparfum. Admirateur sans bornes de Bois d’Ascèse et portant régulièrement Cuir Velours et surtout Iris Cendré, je m’impatiente et redoute à la fois de découvrir Nuit de Bakélite.
Je trouve si juste votre vision des très grand parfums, " ceux qui ont la faculté de vous laisser vivre votre vie olfactive, ils s’effacent un moment et puis reviennent dans toute leur puissance une fois..." Ce sont ceux-là qui nous donnent le plus de plaisir, à l’image des amis qu’on retrouve toujours avec bonheur. On les connaît, on les aime et puis, au détour d’un fait de vie nouveau, d’un événement, d’un simple moment passé ailleurs, on les redécouvre sous un autre jour mais ce sont bien eux, merveilleux, fidèles, rassurants, indispensables. Les grands chypres ont cette faculté, que dis-je ! ce pouvoir. Merci de nous mettre l’eau à la bouche si intelligemment, si subtilement.