Guerlain : nouveaux flacons, futures disparitions ?
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
il y a 14 heures
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
hier
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
hier
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Chapeau bas, AuParfum !
L’analyse est juste, fouillée, implacable et, j’en ai peur, prémonitoire.
Guerlain, ce grand cadavre à la renverse, présente tous les symptômes d’une maladie qui ne pardonne pas. Engageant le pronostic vital de la Qualité et de la Créativité, elle a pour nom : la rentabilité-avant-tout.
Et nous assistons, la larme à l’œil mais impuissants, au saccage d’un patrimoine deux fois centenaire.
Heureusement, pour défendre les couleurs de la parfumerie d’auteur en France, il y a encore... euh, attendez, qui au fait ?
Francis Kurkdjian ? Ben non, sa Maison éponyme est tombée de plein gré dans les bras de LVMH, justement.
Oui, c’est comme cela désormais, il faut se faire une raison : la niche qui a du potentiel se fait racheter par les mastodontes du secteur.
Alors, en attendant que LVMH, L’Oréal ou Estée Lauder leur mettent le grappin dessus, chérissons les créations de Marc-Antoine Corticchiato, de Pierre Guillaume ou de Patricia de Nicolaï. Bientôt, il ne sera plus temps.
#MakeGuerlainGreatAgain (mais c’est pas gagné !)