Idée reçue n°3 : la qualité d’un parfum varie suivant les peaux
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
hier
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bizarre, bizarre, je viens de lire tous les commentaires, et j’ai l’impression d’être la seule personne à n’avoir jamais remarqué d’effet particulier sur ma peau. Les parfums sentent ce qu’ils sentent et pas autre chose.
J’avoue que je me suis rarement posé la question. L’idée me semble fantasque, étrange, aussi étrange que celle de boire des huiles essentielles (au lieu de les diffuser pour en sentir le parfum !!!) Quand je sens quelque chose qui m’étonne ou qui est différent, je me dis que c’est l’anosmie, l’évolution des notes de fonds, ou bien que j’ai le nez bouché. Ou bien la différence de perspective subjective/objective. Le problème pour les parfums c’est qu’on ne pourra jamais se croiser soi-même et percevoir son propre sillage...
Alors je reteste le parfum et je finis par me dire que finalement c’était ça. Parfois en fin de journée je teste ce qui reste dans mon cou en y frottant mon avant bras. Je n’ai jamais rien senti d’autre que le parfum que je portais ce jour-là (moyennant les x heures d’évolution).
D’un autre côté on pourrait imaginer que certains parfums n’iraient pas sur des personnes qui mangent épicé ou beaucoup d’ail. Mais le problème, c’est que ces personnes ne le sauront pas, vu que cette odeur corporelle parasite a certainement créé une anosmie chez eux et qu’ils ne la perçoivent plus. Donc l’intéressé est le moins bien placé pour percevoir cette "alchimie" ou son absence sur sa peau, ce qui me laisse sceptique sur ce concept d’ "alchimie", du moins qui serait perceptible par la personne elle-même...