Le parfum fait son cinéma
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 5 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 5 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Coucou Zab,
Amusant votre remarque. Je rentre d’Angleterre et c’est tout à fait vrai que là-bas, les parfums sont très sectorisés office / soirée, à l’inverse des Français qui portent leurs parfums selon leur humeur, capiteux ou non.
Pour revenir à la série Sherlock, il y a égalemement un épisode où il "interroge" mentalement plusieurs femmes suspectes pour déterminer laquelle d’entre elles est susceptible d’avoir commis un forfait. Forcément, l’une d’entre elles détonne dans ses choix de préférence en matière de film, soirée idéale, etc... On devine vite son côté un peu coquin ou "kinky" comme disent les Britanniques. Et quand vient le moment de leur demander le nom de leur parfum, toutes les femmes BCBG répondent Chanel, sauf bien sûr la plus décalée qui affirme "Estée Lauder" sur un air bravache, ce qui fait sursauter Sherlock.