Chanel N°5 L’Eau
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Aaricia,
Si je peux comprendre votre surprise à l’égard de ma conjonction de coordination favorite, c’est avant tout plus un petit clin d’oeil personnel qu’une conclusion générale. Des choses de très mauvais goût que j’ai adoré, défendu et étaient pourtant très ambitieuse ont bidé, c’est la vie, c’est comme ça (je pense à des films comme Jupiter Ascending ou Tomorrowland). On parle bien de réussite critique et de réussite publique. Parfois les choses coordonnent (Terre, Dior Homme et ... et j’ai du mal à en citer un troisième qui ai moins de 10 ans), parfois non.
Concernant le glucose, qu’on se le dise : l’histoire de la subjectivité et de l’objectivité est un boulet qu’on se traîne à chaque texte. C’est comme ça, mais pour moi, l’hyperglycémie en parfumerie est problématique. Il y a de jolis parfums sucrés, je ne dis pas ça. Le texte sur le N°5 L’Eau transcris ce que je ressens : le sucre est actuellement un automatisme de formulation qui n’apporte souvent rien au propos olfactif d’un parfum, se colle sur une structure comme ça, sous des formes pas forcément très différentes. C’est partout pareil, chaque domaine de création à ses tics d’écriture temporels. Dans les films, en ce moment, on se cogne les nostalgies rétro douillettes et qui dévient l’intrigue, etc. Et un film de divertissement grand public qui est une oeuvre originale et actuelle fait office d’oeuvre ambitieuse et qui ose prendre un risque. C’est là, le parallèle avec N°5 L’Eau qui refuse certains oripeaux et certaines facilité avec une rigueur qui fait plaisir (le parfum en choisit d’autre, je pense notamment au nom), et en cela je l’en félicite. C’est tout.