Parfums : les nanars de l’été
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 3 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 3 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je suis allée sentir La petite robe noire édition bleue par curiosité, notamment parce qu’elle s’appelait "sous le vent". Ce "sous le vent" sous-entendait pour moi une odeur subtile, fraiche mais aussi sensuelle, comme une brise rafraichissante dans l’été moite. Bon, autant dire que j’ai été déçue. Je ne suis pas une grande amatrice de la Petite robe noire, bien que la première soit la plus intéressante à mes yeux. La version verte était inspide à mon nez mais c’est bien la première fois qu’une petite robe noire me donne envie de vomir... J’ai bien bien regretté d’en avoir pschitté dans le creux de mon poignet et j’ai dû vaillamment ignorer cette partie de mon anatomie pendant toute la journée.