Parfums : les nanars de l’été
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
il y a 12 heures
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
hier
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
hier
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Je suis allée sentir La petite robe noire édition bleue par curiosité, notamment parce qu’elle s’appelait "sous le vent". Ce "sous le vent" sous-entendait pour moi une odeur subtile, fraiche mais aussi sensuelle, comme une brise rafraichissante dans l’été moite. Bon, autant dire que j’ai été déçue. Je ne suis pas une grande amatrice de la Petite robe noire, bien que la première soit la plus intéressante à mes yeux. La version verte était inspide à mon nez mais c’est bien la première fois qu’une petite robe noire me donne envie de vomir... J’ai bien bien regretté d’en avoir pschitté dans le creux de mon poignet et j’ai dû vaillamment ignorer cette partie de mon anatomie pendant toute la journée.