Parfumer ses souvenirs
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Comme mon message est trop long pour entrer, j’opte pour en mettre la suite en commentaire du début :
Un aperçu de mes habitudes :
En toutes saisons, mais surtout au printemps, lorsque je me sens modeste, là encore, mais surtout médiévale, je porte feu l’Eau des quatre reines de L’Occitane (aujourd’hui, Rose et Reine, si je ne m’abuse), un hommage aux quatre filles du comte de Provence, toutes bien mariées et ainsi élevées au rang royal. Ce parfum m’évoque la fête de la rose de mai, importante au Moyen-Âge et qui plonge ses racines dans la plus haute antiquité (Grèce Antique, Pou moi ta roda, pou moi ta ia, pou moi ta kala selina ?). Je précise que le tombeau dudit papa des quatre reines est dans la rue voisine de la mienne ^_-
C’est un parfum avec lequel j’ai contaminé des amies chères. C’est donc aussi un signe de reconnaissance entre nous. Il faudrait que j’en rachète ou que je prenne Florabotanica, qui me tente depuis longtemps mais qui ne m’évoquera jamais la même chose. Florabotanica serait plutôt un pendant printanier de La Fille de Berlin telle que je l’évoque plus bas, mais avec des roseraies françaises.
1996 de Byredo pour le Carême et les retraites monastiques (dès que je le sens, je m’imagine es icônes dorées, la pierre froide, l’odeur de l’église après les offices, les marches en maquis pour rejoindre les lambris de mon ermitage à l’orthodoxe... rhaaaaa *.* )- Seven Veils de Byredo pour les festivités pascales (opulence des fruits secs, des dattes, des brioches orientales faites par les moniales, de l’encens plus sucré des jours de fête).