Vétiver
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
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Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Merci, Marco.
Je n’ai trouvé, ici que le premier, celui de Malle. Je n’ai pas reconnu le vétiver et le reste ne m’a pas attiré.
Je n’ai pas trouvé les autres ni le Lubin ni le Ford. J’aurais souhaité connaître Sycomore ou Encre Noire mais ne les ai pas trouvés non plus.
Celui dans lequel j’ai reconnu le vrai vétiver, c’est un Guerlain, le Vétiver Extrême ; je n’ai pas essayé le "normal". Mais ce Vétiver Extrême ne me semble pas mal du tout, c’est là que j’ai ressenti vraiment le vétiver nature, pas trop traficoté. Il ressemble, après quelques dizaines de minutes, voire quelques heures, à ce fagot de racines de vétiver que j’ai à portée de main. Il rappelle le fourrage avec quelques nuances iodées, un peu marines. Je ne le trouve pas mal du tout.
J’en ai ramené un flacon et je vais me laisser quelques jours pour en dire davantage.
Quant au Carven-2014, je m’y suis un peu habitué, j’y trouve quelques qualités mais ils ont eu vraiment la main trop lourde sur la fève Tonka. C’est dommage, à mon sens, car relativement vite, il ne reste plus que ça. Brut et pur ; fruste.