One Love, le nouveau Jean-Louis Scherrer
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 10 heures
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
il y a 13 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Je n’aurai pas cherché Nuits indiennes (que je n’ai pas trouvé) tout en bas d’une étagère du Séphora près de mon lieu de travail, à une place indigne de lui, je ne l’aurai jamais découvert, par le plus grand des hasards. En même temps, le nom ne me faisait pas franchement envie (clin d’oeil aux commentaires des uns et des autres sur Au parfum concernant les noms donnés aux parfums Annick Goutal). Ce fut une révélation, un numéro de charme qui s’est déployé tout au long de cet après-midi triste, dans un environnement professionnel pas tellement folichon. En promenant discrètement mon poignet sous mes narines, je me sentais envahie de sérénité. Je me suis laissée peu à peu séduire par cette violette poudrée de mimosa d’une douceur incroyable, le symbole de la féminité, de la tendresse : je n’imagine pas une "maman" sentir autrement. On est à des années lumières des senteurs actuelles agressives, surchargées de glucose ou de fruits synthétiques mais en même temps, il correspond à une femme sûre d’elle qui n’a pas besoin d’artifices tapageurs pour séduire. Bref, un vrai coup de foudre. Ce parfum mérite amplement que l’on s’intéresse à lui.