One Love, le nouveau Jean-Louis Scherrer
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 56 minutes
Cette tendance des flacons tout droit d’une verrerie bon marché m’exaspère un peu. Les prix(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Je n’aurai pas cherché Nuits indiennes (que je n’ai pas trouvé) tout en bas d’une étagère du Séphora près de mon lieu de travail, à une place indigne de lui, je ne l’aurai jamais découvert, par le plus grand des hasards. En même temps, le nom ne me faisait pas franchement envie (clin d’oeil aux commentaires des uns et des autres sur Au parfum concernant les noms donnés aux parfums Annick Goutal). Ce fut une révélation, un numéro de charme qui s’est déployé tout au long de cet après-midi triste, dans un environnement professionnel pas tellement folichon. En promenant discrètement mon poignet sous mes narines, je me sentais envahie de sérénité. Je me suis laissée peu à peu séduire par cette violette poudrée de mimosa d’une douceur incroyable, le symbole de la féminité, de la tendresse : je n’imagine pas une "maman" sentir autrement. On est à des années lumières des senteurs actuelles agressives, surchargées de glucose ou de fruits synthétiques mais en même temps, il correspond à une femme sûre d’elle qui n’a pas besoin d’artifices tapageurs pour séduire. Bref, un vrai coup de foudre. Ce parfum mérite amplement que l’on s’intéresse à lui.