Vanderbilt
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Merci d’avoir enfin tenu compte de ce parfum et d’en avoir rédigé la critique .
Vanderbilt a suivi le chemin inverse d’Anaïs, Anaïs de Cacharel qui lui, était vendu en grandes surfaces dans les années 70, avant de rejoindre les étagères prestigieuses, fort de son succès.
Il n’est pas si bon marché que cela, du moins en France, surtout si on le compare à certains, répertoriés sur ce site dans la rubrique dédiée aux "petits prix".
Je l’ai moi-aussi découvert dans les années 80, du temps où il était vendu en parfumeries.
"Fleuri-sucré" m’annonça la vendeuse ; l’aspect "sucré" était donc déjà là, et je trouve, comme il a été dit plus haut, que rien n’a fondamentalement changé olfactivement. Vieillot ? Peut-être ; comme tous les poudrés, alors ! Ecoeurant ? Comme beaucoup de parfums qui sortent en ce moment, non ? En fait , c’est l’accord rose-fleur d’oranger-oeillet-muscs qui rebute pas mal de monde et je le comprends tout-à-fait . Salle de bain de grand-mère ? Très certainement, et cela me plaît. "Tu sens bon !" me dit-on souvent , et cette réflexion ne vient pas uniquement de personnes "d’un certain âge". Bref, j’en ai un stock que je renouvelle régulièrement. A noter :