Hermann à mes côtés me paraissait une ombre, la poésie selon Etat Libre d’Orange
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Oserais-je me risquer trop précipitamment à un petit mot rapide sur cet Hermann ? Une première impression, à compléter ou à réajuster voire à renier bientôt si vous me le permettez... Circonspect sur la maison et les matières ou les formules je le suis un peu, mais attiré par la nouvelle promesse, (Hugo et en particulier les poèmes des Contemplations m’étant vraiment très familiers), j’ai voulu essayer.
Contrairement aux autres parfums de la marques qui m’avaient parfois un peu laissé à la porte, disons que celui-ci est en effet plus "poétique" et qu’il m’a permis de retrouver les promesses de la composition décrite. Je l’ai porté aujourd’hui. Le départ propret, l’image d’une "fleur ozonée", m’a semblé d’abord trop androgyne, (je croyais cette fois qu’on s’adressait exclusivement aux hommes, mon côté old schol...) mais une touche poivrée m’a sauvé la mise et c’est vers cette note bien plus épicée que semble évoluer la fragrance... à suivre donc, avec vos avis...