Hermann à mes côtés me paraissait une ombre, la poésie selon Etat Libre d’Orange
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Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
il y a 3 jours
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
il y a 3 jours
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 4 jours
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
Oserais-je me risquer trop précipitamment à un petit mot rapide sur cet Hermann ? Une première impression, à compléter ou à réajuster voire à renier bientôt si vous me le permettez... Circonspect sur la maison et les matières ou les formules je le suis un peu, mais attiré par la nouvelle promesse, (Hugo et en particulier les poèmes des Contemplations m’étant vraiment très familiers), j’ai voulu essayer.
Contrairement aux autres parfums de la marques qui m’avaient parfois un peu laissé à la porte, disons que celui-ci est en effet plus "poétique" et qu’il m’a permis de retrouver les promesses de la composition décrite. Je l’ai porté aujourd’hui. Le départ propret, l’image d’une "fleur ozonée", m’a semblé d’abord trop androgyne, (je croyais cette fois qu’on s’adressait exclusivement aux hommes, mon côté old schol...) mais une touche poivrée m’a sauvé la mise et c’est vers cette note bien plus épicée que semble évoluer la fragrance... à suivre donc, avec vos avis...