Qui est propre, qui est sale ?
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 4 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Parfum propre et parfum sale : peut-être est-ci ici la bonne rubrique pour poster un avis sur Santa Maria Novella Marescialla :
Voici donc un incroyable parfum tout droit sorti du XIXe siècle, Une ouverture stupéfiante, une eau d’apothicaire, herbeuse, quelque chose que l’on pourrait sentir dans de vieilles demeures de maître, avec parquets, lambris et la poussière dansant dans la lumière des grandes baies qui donnent sur le parc...
Puis tout cela s’adoucit, se sucre aussi, et se mue en l’odeur un peu crémeuse des produits de rasage d’un barbier des beaux quartiers.
Chef d’oeuvre dans cette jungle contemporaine de clones, de sucrailles de boites de nuit, sans souffle, sans histoire.
Faites une pause, respirez, méditez dans la lente coulée du temps.
Rare. Magnifique.
Le sale et le propre réconciliés.