Prada décuple les Olfactories
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Alors, quelques mots complémentaires sur les Olfactories...
On ne parlera pas du prix (ça discute sec autour du sujet sur la critique de The night, on ne va pas venir faire concurrence...) : on va se concentrer sur les jus !
Et je passe aussi sur le livret et ses présentations de mirliton qui me font mourir de rire : quand je pense qu’ils ont osé marquer, pour présenter le parfum Un chant d’amour, « la pureté d’un nuage qui s’évanouit, révélant la complexité de l’apesanteur » !!!
Y’en a pas un, dans tout le staff, qui leur a dit que c’était ridicule (bonjour, les bisounours !!! On aime le rose et on est tous amis !!!) mais surtout que ça ne voulait rien dire ?
J’avoue que j’hallucine un peu, et je me dis que ça n’est pas chez Chanel que l’on verrait ce genre de chose...
Bon, venons-en à l’essentiel, ce que j’ai senti :
Bref, pour moi, rien de transcendant, surtout à ce prix... (ah zut : j’avais promis que je n’en parlerais pas !!!)
Mon trio de tête : Marienbad, Double dare et Cargo de nuit, que j’irai re-sentir avec plus d’attention...
Donc, si vous passez devant le stand, sentez-les, pourquoi pas, mais pour les provinciaux, si vous venez à Paris, je ne pense pas qu’il faille mettre cette collection dans vos priorités à découvrir et si vous restez en province, sachez que vous ne ratez rien...