Famous Death, l’odeur de la mort...
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je ne pense pas qu’il faille y voir une tentative de reproduction de la réalité, aucune oeuvre n’a cette vocation. Faudrait-il dénigrer la peinture ou les films historiques parce qu’ils ne peuvent retranscrire la vérité exacte ? Il s’agit d’art, tout est question d’interprétation, d’imagination et, surtout dans le cas dont il est ici question, d’inspiration.
Quant au sujet qui semble vous choquer, il n’est pas nouveau. Représenter la mort de personnages célèbres est courant dans l’art. Cela vous choque-t-il quand David peint La mort de Marrat, quand Camuccini représente La mort de Jûles César, quand les artistes rivalisent de talent pour peindre le suicide de Cléopâtre ou celui de Didon ? Sans parler de la crucifixion (qui est je l’admet une iconographie à part dans les représentations de morts célèbres).
Quelle différence y a-t-il ici, si ce n’est le médium employé ? L’innovation, qui relève plutôt de l’expérimentation, tient surtout à l’usage des odeurs et des sons au lieu de la classique peinture pour évoquer un sujet somme toute très courant en art : la mort (souvent violente) de personnages célèbres.