Panorama
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 6 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Ma première critique... Baptême de l’air... Allez je me lance !
Panorama… Une photo qui m’a tout de suite interpelée… Peut-être une envie d’évasion en ce début d’été ? Mais un parfum vert… Ce qui, a priori, ne figure pas dans mon tableau de chasse (souvent annonciateur pour moi de migraine ou irritation de la gorge). Mais l’appel est trop fort, je demande un échantillon.
Alors que dire… Au premier essai sur textile, une réminiscence troublante me bouleverse, une image régressive. Pas de doudou, mais l’image du savon à barbe que mon papa utilisait quand j’étais petite. Donc une odeur vive, piquante, mais qui laisse rapidement place à la crème, dans le sens où je me remémore le mouvement du pinceau sur le bloc blanc, l’aspect crémeux qui s’en dégage. La figue me ferait-elle de l’œil ? Donc un aspect lacté enrobe le piquant… Les notes de fond sont rassurantes et persistantes, mais toujours dans une dynamique intéressante, pas du tout de mièvrerie.
Sur ma peau, l’effet se révèle, mais cette fois, la jungle apparaît ! Est-ce le patchouli ? La résine ? Une odeur sauvage et animale prend le dessus, une impression déjà ressentie dans l’Eau Fraîche de Molinard.
Alors voilà… Pour moi, ce parfum est une invitation au voyage, puisqu’il a pu me transporter d’un univers masculin de salle de bain, à une jungle torride et dangereuse, mais en sachant très bien que la violette ou autre effluve indéfinissable me protègeraient contre tout agression !
Etrange expérience… De belles matières. A suivre de très près ! Et merci à auparfum qui m’a permis ce voyage !