Un vent venu d’Orient souffle sur Annick Goutal
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Ayant toujours été un " Goutalfan " et demeurant souvent admiratif du travail d’Isabelle Doyen, Mon Parfum chéri en tête, je suis inmanquablement curieux et très impatient de découvrir ce nouveau triptyque. Les Orientalistes m’avaient conquis au point que je me suis offert la série des trois ainsi que, soldé, le coffret AME (Ambre, Myrrhe, Encens) qui contenait dans de très jolis cubes de verre scellés, les trois fragrances en extrait. Mais en apprenant cette nouvelle et en découvrant le prix d’un 75 ml, je me dis que la maison Goutal, apparemment dépendante d’un groupe coréen, veut redorer son blason et monter d’un cran dans le marché très encombré des niches de riches, comme je me plais très/trop souvent à le dire. Le joli quoique manquant de caracrère Vent de folie et l’adorable L’Île au thé ne semblant pas cartonner dans les ventes, on en vient à se dire qu’il faut relancer la machine, revitaliser la marque par le biais d’un trio luxueux et rare, après d’autres lancement de ce type, chez YSL par exemple. Nouveau packaging, nouvelle contenance (75 ml), etc. Je reste un peu dubitatif mais cependant confiant... Wait and see !