Samsara
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 15 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 15 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 15 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
MOI ! J’ai 25 ans et pas grand chose à voir avec une bourg’ qui cocotte (je ne le prends à titre personnel, loin de là, mais l’expression m’a amusée) !
Plus sérieusement, je comprends très bien qu’on ne le supporte pas, il ne passe pas inaperçu et puis on associe souvent un parfum aux personnes de notre entourage qui le portent même si ce n’est pas exhaustif, pour ne pas dire réducteur. Ce qui fait son charme c’est justement son coté overdosé et sur-puissant très 80’s mais je suis une inconditionnelle du genre (Coco, Poison, Opium...). Je le trouve très élégant et j’aime beaucoup ce contraste entre les notes jasminées capiteuses et le crèmeux du bois de santal omniprésent. Il évolue peu mais il est riche et faceté. Il est très Guerlain, finalement plus pour son caractère affirmé et controversé que pour sa composition.
Enfin, bref, c’est un de mes parfums préférés et je tacherai de le décrire un peu mieux une prochaine fois (là c’était pas terrible mais c’est les vacances !). Fashionista, accro aux escarpins vertigineux, oui, mais "bourg’ qui cocotte" quand même je ne me voyais pas comme ça ! ;)