Les parfums de la honte
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 23 heures
Hello, Le premier qui me vient, c’est Fragile de JPG, en eau de parfum, la silhouette dans une(…)
hier
Hier, en retrouvant mon beau flacon de Power créé par Olivier Polge en 2008, j’ai repensé à la(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Ayant traversé récemment une phase "je veux un parfum d’Italienne à la beauté dévastatrice" (ne posez pas de questions :p), j’ai lu, je suis allée renifler des trucs à droite à gauche puis un jour je suis tombée sur la description de Dolce & Gabbana Pour Femme. Ça m’avait l’air beau. Je suis allée le sentir, et là, je n’ai pas compris. Ce que j’avais dans les narines ne correspondait en rien avec le floral aldéhydé dont j’avais lu la description. Normal... il a été reformulé complètement et j’avais lu la description (et des critiques) de l’ancien.
Toujours est-il qu’étrangement, ce truc doucereux, douceâtre, tout rond, poudré (bon, j’adore les poudrés), lacté et crémeux, qui devrait ne rien avoir de séduisant tant il sent un machin entre la guimauve à la vanille et la crème à la barbe à papa, bah... je l’aime bien. Je ne sais pas si je lui trouve quand même quelque chose de sexy à cause de l’image que je m’en étais fait et qui persisterait malgré tout, ou si simplement je le trouve complètement régressif, mais voilà, Dolce & Gabbana Pour Femme est mon parfum de la honte.