Ça Sent Beau
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Merci Jeanne pour cet article totalement lucide.Ce parfum avait beaucoup fait parler lors de son lancement mais, je trouvais à l’époque qu’il s’agissait de beaucoup de bruit pour peu de choses.
Effectivement, il était présenté comme une fragrance sage, fruitée et florale incarnant la bienséance que devait représenter un parfum japonais.Mais, pour ma part, j’étais déjà gêné par l’opulence de ses fleurs blanches, et la présence de la tubéreuse (note que je n’apprécie que sur un nombre restreint de jus) n’arrangeait pas les choses.De plus, le côté savonneux (peut être un symbole de la propreté dont sont friands les japonais) semblait dérangeante dans l’évolution de la compo.
Bref, pas de coup de foudre pour moi à l’époque, mais au contraire, la crainte de vraiment gêner mon entourage en le portant si peu que ce soit.Je l’ai très vite oublié.
Ressenti il y a 1 an environ pour voir ce que pouvait donner une reformulation, il m’a semblé encore plus opulent (dans le genre étouffant) mais aussi, passablement daté.Un de ces parfums qui ne passent pas à la postérité.