Manoumalia
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Après une première édition réunissant près de 3000 passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025 au Bastille Design Center. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
il y a 57 minutes
Bonjour cher camarade oui, c’est ma passion ma mère était vendeuse en parfumerie pendant l’âge(…)
il y a 5 heures
Bon, je m’y colle, bien que pas spécialiste du tout. Je dirais que c’est possible, mais il est(…)
il y a 15 heures
Malheureusement Gardénia Passion vient d’être supprimé. Une honte...
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Bonsoir,
Après plusieurs tests je voulais mettre un petit avis sur ce parfum et faire un clin d’œil au nez qui nous à malheureusement quitté.
Je dois bien l’avouer, il n’y a rien à rajouter sur la critique de Jeanne.
L’attaque est très tiaré-ylang, mon nez est plongé dans ce bouquet de fleurs généreusement accompagnées de feuilles et de tiges humides et vertes. J’y trouve également un beau jasmin blanc éclatant. Le monoï que je n’apprécie guère en temps normal ne m’accommode pas, il appose un accent exotique à la fragrance.
Rapidement le lait chaud un poil gras déborde du vase dans lequel est agencé ce lumineux bouquet de fleurs, appuyé par l’odeur ronde de la coco (peut-être) et du santal (sûr et certain).
Au fond de ce vase, du bois, un santal évident. Ce vase qui maintient la composition, colonne vertébrale du parfum, n’est autre que les racines d’un vétiver fumés entrelacées, ambrées.
J’ai quelque chose d’ultra floral qui m’emmène vers une sensation d’épaisseur dans ce parfum. Cette épaisseur est apportée par les notes rondes et crémeuse, ce crémeux lui-même encadré par une note fumée. Nous ne sommes pas du tout dans quelque chose de vaporeux, mais dans un parfum franc, presque lourd. Il est un peu trop crémeux pour moi.
Manoumalia est solaire certes, pour autant j’ai du mal à imaginer l’île tropical et l’exotisme qu’on pourrait associer à sa créatrice, mais cela ne me gène pas du tout, ce serait un raccourcit ennuyeux.
Le parfum semble très maitrisé, les notes se contrebalancent, se soutiennent, s’attirent et se repoussent. Du floral contre du fumé contre du vert contre du sec (aussi) contre du crémeux. Tous ces aspects se répondent mutuellement.
Je trouve finalement Manoumalia assez lisible dans sa composition, ce qui est plutôt rare pour moi. Peut-être est-ce ce coté authentique dont Jeanne parle.
Bonne soirée
Thelittlebox
En m’excusant pour l’orthographe :)