Idée reçue n°3 : la qualité d’un parfum varie suivant les peaux
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 4 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Chère Walkyrie, en effet, on peut certainement dire que la transformation “chef d’oeuvre”-> “désastre” est plus courante que l’inverse...
Il ne faut pas non plus négliger l’influence des odeurs de la peau, comme celles des produits utilisés (crème, savon, lessive..) tout autant que celle de la peau elle-même (transpiration, sébum...) qui viennent "déformer" le parfum et modifier sa perception.
En tout cas, le sujet fait débat, et si l’on n’a jamais réussi à prouver scientifiquement comment les peaux faisaient "bouger" les parfums, ni établir des “règles précises”, c’est un fait indéniable !