Diorella
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 heure
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je ne parle pas d’art, pour moi la parfumerie elle est artisanale ou commerciale. Maintenant oui je sais que Roudnistka considérait la parfumerie comme un art, Jean-Claude Ellena de même, mais bon le parfum a une fonctionnalité, et même si par exemple certains Lutens pourraient se porter comme un tableau, il ne se considère pas comme un artiste, au plus il imagine ses parfums comme une bijou que l’on porte haut sur soi.
Diorella a réactualisé le style chypre dans les années 70, mais quarante ans après, il est ancré dans son temps, comme prisonnier de cette décennie maudite dans la mode par exemple, alors que Mitsouko, créé en 1919, donc bientôt centenaire, reste encore un vrai chypre intemporel.