Diorella
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Cette question de l’intemporalité d’une œuvre me taraude. Pour faire un parallèle avec la peinture, devant un Kandinsky (au hasard "Jaune-rouge-bleu, 1925" que je trouve stupéfiant) on peut dire qu’il est magnifique, qu’il a été révolutionnaire à cette période de l’entre-deux guerres mais qu’un peintre qui ferait ça en 2015 serait taxé de passéisme, à juste titre.
Avec une casquette d’amateur d’art je dit : quelle œuvre géniale, (sa beauté me parle toujours aujourd’hui)
Avec celle d’un peintre contemporain ce serait : superbe, très 1920 ! (sa technique est datée)
Si je décortique, lorsque tu dis qu’il n’est pas intemporel, tu indiques que sa structure, sa composition est l’aboutissement d’une technique qui ne peut aller plus loin ? un sommet qui n’a plus lieu d’être explorer ?