Diorella
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
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Bonjour à vous, Je reviens sur cet article, 13 ans après mon message où je faisais part de ma(…)
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J’ai une place tout au chaud dans mon cœur pour Œillet Bengale. C’est le parfum qui m’a fait(…)
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On me l’avait offert (pas évident, il a disparu aussi vite qu’il est apparu). J’aime le galbanum(…)
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Merci pour votre retour enthousiaste, Passacaille.
Je rejoins complètement votre description de Diorella. C’est un parfum parfaitement équilibré, abouti et maîtrisé. Moins simple qu’il n’y paraît et assez difficile à comprendre, malgré sa limpidité.
Diorella était un parfum très vendu dans les années 70, très jeune, vif, sportif. C’est l’aboutissement de l’œuvre d’Edmond Roudnitska, dans sa recherche d’épure dans la sophistication. Il symbolise la quintessence de son style, avec ses notes de fruits jaunes, son cœur jasminé, légèrement épicé, et son fond chypré très présent. Il s’agissait également de sa création favorite. La filiation avec Le Parfum de Thérèse est évidente, et celle, plus originale, avec Noir Epices, me parle également, même si le traitement des notes fruitées est bien différent. Je ne sais pas dans quelle mesure le fils a souhaité rendre hommage à son père, mais il est évident que sa "patte" s’inscrit dans une tradition olfactive familiale.
PS : ravi que ces créations anciennes vous aient plu !