Odeurs freaks
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
une bien hard !
l’odeur de l’huile de foie de morue
Non non, mes parents n’ont pas suivi la terrible coutume ancestrale de faire avaler ce fortifiant puant, repoussant et huileux à nos jeunesses turbulentes ma sœur et moi, mais ma grand mère m’a fait découvrir très tôt le gout, succulent, du foie lui même. Albert Menès en produit et commercialise encore dans un adorable emballage rétro, l’authentique "foie de morue fumé" le seul qui vaille :-)
Si le foie est fondant et délicieux relevé d’un filet de citron, la moindre goutte de l’huile dans laquelle il baigne transforme la nappe en repoussoir olfactif à faire s’évanouir une mouche.
C’est toute honte bue que j’avoue le plaisir déviant que j’ai à sentir cette odeur, ULTRA métallique, mais en même temps grasse, aminée. J’ai longtemps cru que le métal hurlant venait de la boite en fer blanc, mais non, c’est bien l’huile elle-même qui assume son tempérament de clou.
Ce que je trouve merveilleux c’est le contraste entre la saveur fine du foie et la violence du liquide où il nage, et que l’huile n’a plus rien d’alimentaire dans son odeur.
Je propose le nom de CodIronox pour cette nouvelle matière première animale qui va, je n’en doute, pas devenir indispensable dans la parfumerie innovante :-)