La Fille de Berlin
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 17 heures
« Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse », disait Musset. J’ai découvert Marlou dans ma(…)
il y a 3 jours
Great but I’m not into insecure Beta men with a Trump’s fellatio syndrome
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
La fille de Berlin est un de mes parfums d’automne plus que de printemps. Allez savoir, le côté humide ou métallique évoqué dans certains commentaires y est sans doute pour quelque chose. Mon année est encore réglée sur l’agenda scolaire et septembre marque pour moi une reprise d’activité, le retour à l’urbain, urbain dans lequel, en bonne fille de la campagne, je cherche à inscrire une dose de fraicheur végétale. Ce parfum, à cet égard, m’a paru cohérent dans cette démarche. Mais ce n’est qu’après l’avoir testé deux ou trois fois sur ma peau que je l’ai adopté pour cette usage dans ma très personnelle liturgie du parfum. En effet, ce qui m’a attiré chez ce jus en premier lieu est bien moins pertinent : son nom. Eh oui, honte à moi ! J’ai tant de souvenirs dans cette ville et bien que je ne sois pas "la fille de Berlin" (trop foncièrement française révendiquée lorsque je séjourne là-bas), je me retrouve dans cette rose rouge et l’évocation de la capitale allemande où j’en ai beaucoup senties, dans cet air urbain, peut-être, mais saturé d’odeurs humides et végétales (c’est une capitale très verte et pleine de lacs pour ceux qui ne connaîtraient pas, bien loin de l’univers quasi post-apo que les images de livres d’histoire ancrent dans notre inconscient).